Sous assistance financière depuis quelques années, le Portugal relance son économie à travers différentes réformes, notamment dans la promotion de la création d’entreprise. A ce titre, le gouvernement portugais a promis une réduction des impôts sur les sociétés, de l’ordre de 25% à 7,5% pour favoriser la création d’emplois. Le pays dispose d’une main d’œuvre pluridisciplinaire et de haute qualité, excellant notamment dans le secteur tertiaire, le tourisme, l’agriculture, l’industrie et le commerce. Actuellement, il existe différents types d’entreprises que l’on peut créer au Portugal, dont les plus prisées sont la Société Publique Portugaise (SA), la Société Portugaise à responsabilité limitée (LDA), l’entreprise individuelle à responsabilité limitée (EIRL), ou encore la société unipersonnelle (SUQ). Une SA nécessite un apport initial minimum de 50 000 euros, donc au moins cinq actionnaires. La LDA correspond aux petites et moyennes entreprises, et nécessite au moins deux partenaires (dont l’un doit être résident au Portugal), moyennant 5 000 euros de capital social minimum. Une EIRL peut fonctionner avec un membre unique, et exige un apport de capital de 5 000 euros. Enfin, le SUQ peut être ouvert avec au moins un associé. Dans tous les cas, différentes procédures administratives doivent être accomplies auprès du registre du commerce et du service des impôts.
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