En entreprise, les acteurs sont souvent amenés à réaliser un document qui aide la mémoire par enregistrement d’événements ou d’observations sur un sujet ou une action. Appelé communément « mémo », ce type de document sert de rappel des faits, visant à justifier ou rétablir le déroulement exact d’un événement. En entreprise, le mémo peut servir à donner des indications plus ou moins détaillées aux collaborateurs, afin de coordonner une production. Tâche particulièrement dispendieuse en termes de temps, la retranscription de mémo fait souvent l’objet d’externalisation vers des sociétés de saisie offshore.
Quatre niveaux de retranscription de mémo en société de saisie offshore
Un des atouts majeurs des téléopérateurs en société de saisie offshore est leur polyvalence. Les opérateurs de saisie possèdent des connaissances générales approfondies, leur permettant d’être à l’aise dans la saisie de mémo, touchant des domaines divers et variés, pour ne nommer que la santé, l’industrie, les finances, la téléphonie et l’informatique, Internet… Que ce soit pour les entreprises, associations, universitaires, étudiants ou particuliers ; les besoins se manifestent souvent en matière d’enregistrements de courriers, entretiens (sociologiques ou autres), réunions de travail, assemblées générales, conférences, colloques, tables-rondes ou cours. La fréquence de tels événements accentue le volume de documents à retranscrire, afin de disposer d’une documentation numérique facilement manipulable, et permettant un archivage sûr.
En société de saisie offshore, la retranscription de mémo se présente sous quatre niveaux distincts, selon les besoins du donneur d’ordres. Le premier niveau est appelé « verbatim », consistant à transcrire mot par mot les interventions, y compris les hésitations, les onomatopées, les répétitions, les rires, les silences… La transcription verbatim est surtout privilégiée pour les mémos de chercheurs ou sociologues. Le deuxième niveau de transcription est dit « épuré », supprimant ainsi les hésitations, onomatopées…, ne retenant que les paroles exprimées par les intervenants. Un troisième niveau de retranscription consiste à une véritable reformulation, corrigeant toutes les fautes de langue possibles, et affectant le style choisi. Tel est souvent le cas pour les comptes-rendus de réunions ou de colloques. Le dernier niveau est un véritable travail de synthèse, ciblant certaines interventions reliées à des thématiques ciblées par le donneur d’ordres.
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